Nous avons adopté Zangra le 23 septembre 2017 et depuis il ne nous a apporté que du bonheur. Jusqu’à ce sinistre 1er janvier 2019 où nous l’avons retrouvé blessé sur le bord de la route. Le vétérinaire n’a pas pu le sauver. C’est à ce moment-là que l’on prend conscience qu’il était devenu le quatrième membre de la famille et c’est peu dire qu’il nous manque. Nous voulons garder le meilleur de ces moments partagés. Zangra était un jeune chat très attaché à nous et nous lui rendions bien. Son plus grand bonheur était de sortir, à Dijon, mais aussi à la campagne où il restait près de nous au soleil à guetter les insectes ou les lézards ou bien à aider Roger et Mireille quand ils jardinaient. Il était aussi très heureux de nous rejoindre dans la rue quand nous rentrions, ou bien de nous accompagner sur plusieurs mètres si nous partions en promenade. Nous avons toujours eu peur pour lui car il ne se méfiait pas assez des voitures, sans pourtant nous résoudre à l’empêcher de sortir car c’est ainsi que nous voulions qu’il grandisse : libre. Joueur, indépendant, attachant, affectueux, il était tout cela. Merci Zangra pour tout ce que tu nous as apporté. Si le paradis des chats existe, tu y as sûrement une place d’honneur auprès des autres chats que j’ai eu la chance de côtoyer : Bidul et Tango. Tu nous avais accordé ta confiance et c’était là le plus beau des cadeaux. Eva, Noa et Isabelle
Nous avons adopté Zangra le 23 septembre 2017 et depuis il ne nous a apporté que du bonheur. Jusqu’à ce sinistre 1er janvier 2019 où nous l’avons retrouvé blessé sur le bord de la route. Le vétérinaire n’a pas pu le sauver. C’est à ce moment-là que l’on prend conscience qu’il était devenu le quatrième membre de la famille et c’est peu dire qu’il nous manque. Nous voulons garder le meilleur de ces moments partagés. Zangra était un jeune chat très attaché à nous et nous lui rendions bien. Son plus grand bonheur était de sortir, à Dijon, mais aussi à la campagne où il restait près de nous au soleil à guetter les insectes ou les lézards ou bien à aider Roger et Mireille quand ils jardinaient. Il était aussi très heureux de nous rejoindre dans la rue quand nous rentrions, ou bien de nous accompagner sur plusieurs mètres si nous partions en promenade. Nous avons toujours eu peur pour lui car il ne se méfiait pas assez des voitures, sans pourtant nous résoudre à l’empêcher de sortir car c’est ainsi que nous voulions qu’il grandisse : libre. Joueur, indépendant, attachant, affectueux, il était tout cela. Merci Zangra pour tout ce que tu nous as apporté. Si le paradis des chats existe, tu y as sûrement une place d’honneur auprès des autres chats que j’ai eu la chance de côtoyer : Bidul et Tango. Tu nous avais accordé ta confiance et c’était là le plus beau des cadeaux. Eva, Noa et Isabelle