Ender était son nom, ce magnifique chien de berger d’Anatolie ou Kangal, avait été nommé dans la langue de son pays d’origine : la Turquie. Et ce prénom signifie « rare », ce qui lui allait comme un gant, lui qui était d’une rare beauté physique et d’âme. Il était aussi surnommé affectueusement « Dédé » par Iris (vétérinaire de la SPA), pour qui, ce chien a énormément compté ; puis nous avons aussi gardé ce surnom et le nommions souvent ainsi. Je l’appelais également « gros toutou » ou « toutou ».
Préalablement à son adoption et spécimen XXL hors normes oblige, nous avons entrepris 5 visites avant qu’il soit pris la décision par la SPA de nous le confier. Ce qui nous a permis de tout préparer à la maison pour son arrivée : sécurisation des fermetures et clôtures, fabrication avec nos 2 garçons d’une niche géante, achats de nourriture et accessoires. Il fallait à juste titre être bien préparé.
Il était en effet un chien de race géante, tout en ayant plutôt les mensurations d’un petit mâle par rapport à la moyenne des bergers d’Anatolie : 73 cm de hauteur au garrot et un poids ayant oscillé lorsqu’il fut notre chien entre 49 kg et 56 Kg 200. C’est par sa très grande beauté qu’il se distinguait, doté d’une génétique « rare », je n’ai jamais vu de chien si magnifique que lui. A la fois impressionnant par sa taille, sa puissance et sa posture, mais aussi par son allure, il ne laissait pas indifférent. Remarquablement proportionné, il était très harmonieux. Le poitrail bombé, fier, imposant, descendant bas sur le corps. Le pelage couleur « fauve », dense, bien brossé, était sublime. Les halos de poils sombres sur le visage se définissaient dans une répartition idéale : l’ensemble de la tête n’était pas trop sombre (ce qui est parfois le cas chez le kangal), les oreilles et le museau assombris sans excès et le tour des yeux avec juste ce qu’il faut de « maquillage », tel un khôl et un mascara savamment dosé. Le museau massif, caractéristique des molossoïdes, abritant une puissante mâchoire sans être dans la démesure. Ses yeux, marrons noisette, exprimaient une incroyable profondeur et expressivité dans le regard. Pour qui le connaissait un peu, on pouvait facilement identifier son émotion par le regard. Le plus marquant était la joie exprimée dans ses yeux quand venait le temps de la promenade.
Il représentait tant la beauté de sa race que j’avais coutume de dire que c’était l’ambassadeur des bergers d’Anatolie en France.
Nous l’avons au départ soigné pendant de longs mois, souffrant d’escarres aux pattes arrières, les pansements « armés » et la collerette XXL bricolée (2 collerettes pour en faire une très grande étaient nécessaires pour compenser son grand cou) furent sont quotidien.
Si la beauté physique dépend de l’appréciation de chacun, les goûts et les couleurs ne se discutant pas, Ender était pour ceux qui l’observaient d’une grande beauté d’âme. Il n’a certes jamais été ami avec les autres animaux : que ce soit ses congénères, les chats, les chevaux, les vaches, les chevreuils ; tous n’avaient qu’à bien se tenir et garder leurs distances, Ender était vraiment « fort comme un turc ». Il avait hérité de la très longue sélection liée à son pedigree, d’un instinct de protection très prononcé. Lorsque nous l’avons adopté à presque 11 ans, rares sont les chiens qui ne sont pas fait aboyés lors des rencontres de promenades ou du passage devant le portail de la cour qu’il gardait très consciencieusement. Il était un merveilleux chien de garde doté d’une intelligence et d’une perspicacité hors normes. Je me souviens d’une anecdote étonnante : nous l’avions habitué, lorsqu’une nouvelle personne devait entrer dans la maison ou la cour, à faire connaissance à l’extérieur de son territoire (sentir la main, caresse, friandise) avant de faire rentrer la personne et le chien dans l’enceinte de la propriété ; sans quoi il ne laissait quiconque rentrer. Hors, un jour où nous avions invité plusieurs amis à la maison, un couple avec 2 enfants en bas âge, qui ne connaissaient pas encore Ender, avaient eux-mêmes ouvert le portail, rentré leur voiture dans la cour pendant que nous accueillions d’autres convives et avons été surpris de les voir arriver avec les petits enfants depuis la cour où notre brave Dédé leur avait simplement gentiment léché les mains. Quelle extraordinaire capacité de discernement il avait fait preuve en analysant la saine bienveillance de nos amis !
Avec nous sa famille, Ender a toujours été très tranquille et protecteur. Si au tout départ, il a testé la dominance, il a ensuite été d’une grande gentillesse et patience avec les enfants aussi, et en particulier envers notre 2ème, Clément, qui avait la fâcheuse manie de poser le pied au ras de sa queue ou de son museau.
Dédé aimait être près de nous et veiller sur son petit monde, on pouvait observer son infatigable travail de surveillance, héritée de sa génétique orientée à la protection des troupeaux de moutons contre les loups et les ours. Il se couchait, trouvant l’angle de mire idéal pour observer tous les membres de la famille, museau posé par terre, tendant les oreilles et se relevant à la moindre menace. Ainsi, il se tenait souvent sur le haut du tas de copeaux de bois, trônant majestueusement comme un roi, le roi des chiens.
Je me souviens qu’à l’âge de 12 ans, alors qu’il avait déjà bien des problèmes de locomotion, assis près de moi dans la grange, il a traversé toute la cour en un éclair pour faire fuir un chat qui venait de passer le portail. Même à cet âge, il avait de très beaux restes.
Il ne jouait plus dans la dernière année de sa vie, mais lorsque nous l’avons adopté, malgré ses 11 ans, il jouait tel un jeune chien, les balles et peluches volaient en tous sens pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Proche de l’homme, il aimait les caresses et c’est sa maîtresse qui avait le don de produire les caresses les plus douces, Dédé exprimant du regard le plus grand extase.
Les visites régulières des « amis des bêtes » du refuge de Jouvence, qui se sont si bien occupés de lui durant les 2 ans passées au refuge, lui remplissaient le cœur de joie à chaque passage. Merci tout particulièrement à Sylvie, dont Ender aura marqué le quotidien au refuge, à Iris dont j’ai déjà parlé plus haut et qui était profondément attachée à ce chien, à Quentin qui l’aimait aussi beaucoup et nous a si bien conseillé et appris à gérer ce merveilleux toutou hors normes. Sans oublier tout le reste de l’équipe de la SPA qui s’est tant investie pour lui ainsi que les bénévoles. Enfin, merci à la clinique des Grands crus qui l’a accueilli en urgence et a fait au mieux pour le soulager ainsi qu’à la clinique Des Clomiers qui aura fait le maximum pour essayer de le sauver en réalisant avec succès une opération peu courante ainsi que pour son suivi par sa vétérinaire référente Bénédicte Lardot et son ostéopathe Margaux Lerch.
Merci encore mille fois aux amis qui se sont occupés de lui à la maison lorsque, trop vieux, il ne pouvait plus nous suivre en voyage (car Dédé est allé avec nous dans le Jura, les Vosges, en Charentes, dans le Morvan). Abi, Jean-Louis, Iris et Quentin qui auront tous été d’excellents pet-sitters et même plus.
Je suis certain qu’Ender aura vraiment marqué les esprits, une vraie mascotte et même une star ayant été invité sur le plateau de France 3 région il y a 3 ans.
Toute la famille se sera beaucoup occupée de lui : les enfants aux gamelles, aux jeux, aux brossages, Sandrine aux caresses et à la supplémentation quand les enfants ne pouvait faire, moi aux promenades (souvent accompagné des enfants), aux soins et à la supplémentation des enfants également. Il y eut une bonne répartition de la réponse à ses besoins.
Cela ne fait que 2 ans et 4 mois que nous avions adopté ce formidable animal mais j’ai le ressenti que c’est comme s’il était présent depuis toujours. Faisant réellement parti de la famille, nous nous souviendrons toujours de lui. Un peu semblable à un vieux lion, roi de la savane au bout de ses forces, il est arrivé à la clinique sur un brancard, toujours fier mais sans plus aucune velléité d’aboyer contre ses congénères, dans la sagesse de son grand âge, accueilli dans la place par l’un des beaux chiens de la que (un berger allemand noir), comprenant son état, presque révérencieux et qui pour la première fois s’approchait de lui sans crainte, compatissant. Que la psychologie canine est fascinante et surprenante. S’il nous a quitté à la suite d’une opération vitale à l’âge de 13 ans et 4 mois, nous avons cette ferme espérance que son âme ait rejoint le ciel et que nous le retrouverons avec grande joie lorsque notre tour sera venu de quitter ce monde, m’imaginant déjà à genoux, les bras ouverts et lui courant vers moi tel que nous faisions lorsqu’il était encore plein de force sur cette Terre.
Ender, mon gros Dédé…
Ce matin, ton cœur à décider de s’arrêter et ce soir, tu es l’étoile la plus brillante dans le ciel.
Te rencontrer a été un tel bonheur…toutes ces balades passées avec toi, ta joie de vivre, tes sourires, ton doux regard, tout ça je ne l’oublierai jamais.
Nous n’avons jamais eu la chance de vivre ensemble, mais pour la fin de ton parcours, tu as eu la chance de rencontrer Pierre, Sandrine et leurs enfants qui t’ont offert le foyer que tu avais toujours mérité. Je ne les en remercierai jamais assez.
Tu le sais, nous ne t’oublierons jamais au refuge car tu savais marquer toutes les personnes qui t’ont rencontré et compris.
Ce soir, tu laisses un vide immense, mais pars tranquille, nous savons qu’où que tu sois tu continues à nous protéger.
Je t’aime.
Iris, ta véto, ton amie.
Ender nous a quitté le 6 octobre 2022
Ender était son nom, ce magnifique chien de berger d’Anatolie ou Kangal, avait été nommé dans la langue de son pays d’origine : la Turquie. Et ce prénom signifie « rare », ce qui lui allait comme un gant, lui qui était d’une rare beauté physique et d’âme. Il était aussi surnommé affectueusement « Dédé » par Iris (vétérinaire de la SPA), pour qui, ce chien a énormément compté ; puis nous avons aussi gardé ce surnom et le nommions souvent ainsi. Je l’appelais également « gros toutou » ou « toutou ».
Préalablement à son adoption et spécimen XXL hors normes oblige, nous avons entrepris 5 visites avant qu’il soit pris la décision par la SPA de nous le confier. Ce qui nous a permis de tout préparer à la maison pour son arrivée : sécurisation des fermetures et clôtures, fabrication avec nos 2 garçons d’une niche géante, achats de nourriture et accessoires. Il fallait à juste titre être bien préparé.
Il était en effet un chien de race géante, tout en ayant plutôt les mensurations d’un petit mâle par rapport à la moyenne des bergers d’Anatolie : 73 cm de hauteur au garrot et un poids ayant oscillé lorsqu’il fut notre chien entre 49 kg et 56 Kg 200. C’est par sa très grande beauté qu’il se distinguait, doté d’une génétique « rare », je n’ai jamais vu de chien si magnifique que lui. A la fois impressionnant par sa taille, sa puissance et sa posture, mais aussi par son allure, il ne laissait pas indifférent. Remarquablement proportionné, il était très harmonieux. Le poitrail bombé, fier, imposant, descendant bas sur le corps. Le pelage couleur « fauve », dense, bien brossé, était sublime. Les halos de poils sombres sur le visage se définissaient dans une répartition idéale : l’ensemble de la tête n’était pas trop sombre (ce qui est parfois le cas chez le kangal), les oreilles et le museau assombris sans excès et le tour des yeux avec juste ce qu’il faut de « maquillage », tel un khôl et un mascara savamment dosé. Le museau massif, caractéristique des molossoïdes, abritant une puissante mâchoire sans être dans la démesure. Ses yeux, marrons noisette, exprimaient une incroyable profondeur et expressivité dans le regard. Pour qui le connaissait un peu, on pouvait facilement identifier son émotion par le regard. Le plus marquant était la joie exprimée dans ses yeux quand venait le temps de la promenade.
Il représentait tant la beauté de sa race que j’avais coutume de dire que c’était l’ambassadeur des bergers d’Anatolie en France.
Nous l’avons au départ soigné pendant de longs mois, souffrant d’escarres aux pattes arrières, les pansements « armés » et la collerette XXL bricolée (2 collerettes pour en faire une très grande étaient nécessaires pour compenser son grand cou) furent sont quotidien.
Si la beauté physique dépend de l’appréciation de chacun, les goûts et les couleurs ne se discutant pas, Ender était pour ceux qui l’observaient d’une grande beauté d’âme. Il n’a certes jamais été ami avec les autres animaux : que ce soit ses congénères, les chats, les chevaux, les vaches, les chevreuils ; tous n’avaient qu’à bien se tenir et garder leurs distances, Ender était vraiment « fort comme un turc ». Il avait hérité de la très longue sélection liée à son pedigree, d’un instinct de protection très prononcé. Lorsque nous l’avons adopté à presque 11 ans, rares sont les chiens qui ne sont pas fait aboyés lors des rencontres de promenades ou du passage devant le portail de la cour qu’il gardait très consciencieusement. Il était un merveilleux chien de garde doté d’une intelligence et d’une perspicacité hors normes. Je me souviens d’une anecdote étonnante : nous l’avions habitué, lorsqu’une nouvelle personne devait entrer dans la maison ou la cour, à faire connaissance à l’extérieur de son territoire (sentir la main, caresse, friandise) avant de faire rentrer la personne et le chien dans l’enceinte de la propriété ; sans quoi il ne laissait quiconque rentrer. Hors, un jour où nous avions invité plusieurs amis à la maison, un couple avec 2 enfants en bas âge, qui ne connaissaient pas encore Ender, avaient eux-mêmes ouvert le portail, rentré leur voiture dans la cour pendant que nous accueillions d’autres convives et avons été surpris de les voir arriver avec les petits enfants depuis la cour où notre brave Dédé leur avait simplement gentiment léché les mains. Quelle extraordinaire capacité de discernement il avait fait preuve en analysant la saine bienveillance de nos amis !
Avec nous sa famille, Ender a toujours été très tranquille et protecteur. Si au tout départ, il a testé la dominance, il a ensuite été d’une grande gentillesse et patience avec les enfants aussi, et en particulier envers notre 2ème, Clément, qui avait la fâcheuse manie de poser le pied au ras de sa queue ou de son museau.
Dédé aimait être près de nous et veiller sur son petit monde, on pouvait observer son infatigable travail de surveillance, héritée de sa génétique orientée à la protection des troupeaux de moutons contre les loups et les ours. Il se couchait, trouvant l’angle de mire idéal pour observer tous les membres de la famille, museau posé par terre, tendant les oreilles et se relevant à la moindre menace. Ainsi, il se tenait souvent sur le haut du tas de copeaux de bois, trônant majestueusement comme un roi, le roi des chiens.
Je me souviens qu’à l’âge de 12 ans, alors qu’il avait déjà bien des problèmes de locomotion, assis près de moi dans la grange, il a traversé toute la cour en un éclair pour faire fuir un chat qui venait de passer le portail. Même à cet âge, il avait de très beaux restes.
Il ne jouait plus dans la dernière année de sa vie, mais lorsque nous l’avons adopté, malgré ses 11 ans, il jouait tel un jeune chien, les balles et peluches volaient en tous sens pour le plus grand plaisir des petits et des grands.
Proche de l’homme, il aimait les caresses et c’est sa maîtresse qui avait le don de produire les caresses les plus douces, Dédé exprimant du regard le plus grand extase.
Les visites régulières des « amis des bêtes » du refuge de Jouvence, qui se sont si bien occupés de lui durant les 2 ans passées au refuge, lui remplissaient le cœur de joie à chaque passage. Merci tout particulièrement à Sylvie, dont Ender aura marqué le quotidien au refuge, à Iris dont j’ai déjà parlé plus haut et qui était profondément attachée à ce chien, à Quentin qui l’aimait aussi beaucoup et nous a si bien conseillé et appris à gérer ce merveilleux toutou hors normes. Sans oublier tout le reste de l’équipe de la SPA qui s’est tant investie pour lui ainsi que les bénévoles. Enfin, merci à la clinique des Grands crus qui l’a accueilli en urgence et a fait au mieux pour le soulager ainsi qu’à la clinique Des Clomiers qui aura fait le maximum pour essayer de le sauver en réalisant avec succès une opération peu courante ainsi que pour son suivi par sa vétérinaire référente Bénédicte Lardot et son ostéopathe Margaux Lerch.
Merci encore mille fois aux amis qui se sont occupés de lui à la maison lorsque, trop vieux, il ne pouvait plus nous suivre en voyage (car Dédé est allé avec nous dans le Jura, les Vosges, en Charentes, dans le Morvan). Abi, Jean-Louis, Iris et Quentin qui auront tous été d’excellents pet-sitters et même plus.
Je suis certain qu’Ender aura vraiment marqué les esprits, une vraie mascotte et même une star ayant été invité sur le plateau de France 3 région il y a 3 ans.
Toute la famille se sera beaucoup occupée de lui : les enfants aux gamelles, aux jeux, aux brossages, Sandrine aux caresses et à la supplémentation quand les enfants ne pouvait faire, moi aux promenades (souvent accompagné des enfants), aux soins et à la supplémentation des enfants également. Il y eut une bonne répartition de la réponse à ses besoins.
Cela ne fait que 2 ans et 4 mois que nous avions adopté ce formidable animal mais j’ai le ressenti que c’est comme s’il était présent depuis toujours. Faisant réellement parti de la famille, nous nous souviendrons toujours de lui. Un peu semblable à un vieux lion, roi de la savane au bout de ses forces, il est arrivé à la clinique sur un brancard, toujours fier mais sans plus aucune velléité d’aboyer contre ses congénères, dans la sagesse de son grand âge, accueilli dans la place par l’un des beaux chiens de la que (un berger allemand noir), comprenant son état, presque révérencieux et qui pour la première fois s’approchait de lui sans crainte, compatissant. Que la psychologie canine est fascinante et surprenante. S’il nous a quitté à la suite d’une opération vitale à l’âge de 13 ans et 4 mois, nous avons cette ferme espérance que son âme ait rejoint le ciel et que nous le retrouverons avec grande joie lorsque notre tour sera venu de quitter ce monde, m’imaginant déjà à genoux, les bras ouverts et lui courant vers moi tel que nous faisions lorsqu’il était encore plein de force sur cette Terre.
Ender, mon gros Dédé…
Ce matin, ton cœur à décider de s’arrêter et ce soir, tu es l’étoile la plus brillante dans le ciel.
Te rencontrer a été un tel bonheur…toutes ces balades passées avec toi, ta joie de vivre, tes sourires, ton doux regard, tout ça je ne l’oublierai jamais.
Nous n’avons jamais eu la chance de vivre ensemble, mais pour la fin de ton parcours, tu as eu la chance de rencontrer Pierre, Sandrine et leurs enfants qui t’ont offert le foyer que tu avais toujours mérité. Je ne les en remercierai jamais assez.
Tu le sais, nous ne t’oublierons jamais au refuge car tu savais marquer toutes les personnes qui t’ont rencontré et compris.
Ce soir, tu laisses un vide immense, mais pars tranquille, nous savons qu’où que tu sois tu continues à nous protéger.
Je t’aime.
Iris, ta véto, ton amie.
Ender nous a quitté le 6 octobre 2022