Retour

GALIA

Bonjour,

C’est avec une grande tristesse que je vous écris ces lignes.

Galia nous a quitté ce lundi 9 septembre 2019 à 16h10. Voilà bientôt 4 ans que nous l’avions adoptée.

Les débuts ont été compliqués ( 3 mois pour pouvoir la toucher) mais ça valait le coup d’être patients. Elle s’est enfin révélée, elle était adorable, gentille, câline ( même très pot-de-colle), et depuis que mon conjoint a eu l’idée de lui apprendre à miauler, les bavardages n’ont plus cessés.

Nous avons déménagé au printemps dernier dans la vallée de l’Ouche, dans une maison avec jardin comme je lui avais toujours promis.

Elle nous a impressionnés, ces progrès ont été encore plus rapide.

Lorsque nous avions des invités, elle montrait le bout de son nez et se laissait parfois caresser ce qui n’arrivait jamais auparavant.

Début juin, après avoir fini ces vaccins contre la leucose, elle a enfin pu aller dehors.

Les premiers pas furent hésitants, mais très vite elle a visité notre jardin et celui des voisins.

Elle avait l’air heureuse.

Puis son état s’est dégradé, une gingivite fin août, puis une hospitalisation suite à des vomissements et diarrhées le vendredi 6 septembre.

Le diagnostic tombe il s’agit d’une insuffisance rénale congénitale, elle est mise sous perfusion pour le week-end.

Nous sommes allés la voir le samedi, et bien qu’assez faible, elle nous a reconnu et est venue chercher des caresses, nous avions bon espoir de la récupérer le lundi.

Cependant lundi après-midi, l’appel du vétérinaire était alarmiste, elle était en détresse respiratoire ne parvenait pas à s’hydrater malgré la perfusion, l’espoir s’amenuisait…

Nous étions présent au moment de son dernier souffle, nous l’avons enterrée à son endroit préféré. Elle restera à jamais avec nous.

Elle n’avait que 5 ans.

Malgré toute la douleur que nous ressentons aujourd’hui, nous souhaitons vous remercier de nous avoir permis de vivre ces quelques années avec Galia (Galinette pour les intimes), bien que trop courtes, elles ont été richesses en émotions, en rires et en tendresses.

Emeline et Mickaël